En complément à l’immobilier physique (à titre de résidence principale, d’agrément ou d’investissement locatif), la « pierre papier », plus souple, s’est développée et a été promue par des gérants spécialisés.
Cet investissement dématérialisé et modulable allie en effet un actif sous-jacent réputé sûr à longue période, offrant le plus souvent un rendement substantiel tout en libérant l’épargnant des contraintes et des risques de l’immobilier physique. Le véhicule d’investissement représentant l’essentiel des encours de la pierre papier (et le plus fréquemment proposé par les réseaux de distribution) est la SCPI (Société Civile de Placements Immobiliers).
Pour autant, est-ce le produit le plus attractif en termes de performances et de fiscalité ?
Des supports alternatifs, moins connus mais souvent plus adaptés aux besoins et aux intérêts des épargnants, (OPCVM immobiliers, OPCI, SCI logées dans des contrats d’assurance-vie) sont pourtant disponibles. Faut-il les choisir ?
Comment concilier la souplesse de l’immobilier dématérialisé et la recherche d’une performance nette à long terme significative ?
L’auteur analyse dans cet ouvrage syncrétique (et synthétique) les différents supports de la pierre papier sous le triple angle juridique, fiscal et financier.
Les spécificités d’un investissement à partir du Luxembourg font l’objet d’un chapitre dédié.