En publiant ce livre, l’auteur s’est fixé un objectif politico-juridique : Celui de faire adopter une « Déclaration des Droits de l’Arbre », une déclaration solennelle à faire suivre par une modification du statut juridique actuel de l’Arbre.

Faisant usage à cette fin d’une procédure juridique, une « Requête », fictive en l’occurrence, il appuie sa revendication sur une vaste argumentation, destinée à faire connaître, à apprécier et à aimer l’ARBRE, ce compagnon et ami de l’homme de toujours.

En fait, ce livre présente l’Arbre, d’abord par rapport à ses relations avec l’homme, puis dans son contexte avec d’autres éléments dans la nature.

C’est bien cette partie informative du livre de quelques 730 pages et 1300 liens électroniques qui révèle au lecteur une multitude d’aspects d’ordre historique, géographique, juridique, économique, scientifique, écologique, biologique, médicinal, culturel,(littéraire, artistique, film et musique)… Une petite encyclopédie de l’Arbre…

L’auteur trahirait son approche écologique s’il ne faisait pas état de la place de l’arbre et de la forêt dans la biodiversité, son rôle dans la régulation du climat, des actions néfastes et bonnes, (déforestation, reforestation etc.) entreprises par l’homme dans une multitude de pays.

Certes, l’auteur n’a pas fait état des rencontres parfois fatales voire mortelles de l’homme avec l’arbre : Les accidents de route, les arbres et branches qui écrasent les personnes et les biens en campagne et les accidents des bûcherons en forêt. Une analyse des responsabilités dans ces cas tragiques révélerait bien que la grande majorité de ces accidents, donc la responsabilité effective incombe aux personnes impliquées dans ces événements ou responsables professionnellement de ces arbres.

D’une façon générale, il y a encore beaucoup à apprendre de l’arbre.